• Un batiment tout neuf pour les Ateliers du Coeur
  • Un batiment tout neuf pour les Ateliers du Coeur

    Lire l’article Magazine Saint Brieuc Agglo N° 43 :  Cliquez ici

  • Les 30 ans des Restos
  • Le 27 septembre 2015, les Restos du Coeur ont fêté leurs 30 ans d’existence

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  • Pose de la première pierre des Ateliers du Coeur aux Plaines Villes
  • Le 25 Juin 2015 a été posée la première pierre du nouveau bâtiment des Ateliers du Coeur aux Plaines Villes.

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    Pose de la première pierre

     

  • Ouest-France du 18/10/14 : La retraite pour Jean-Pierre !
  • Après 21 années en tant que moniteur et responsable de l’atelier cuisine, l’heure de la retraite a sonné pour Jean-Pierre Orinel.

    Lire l’article du Ouest-France : cliquez ici

    Jean-Pierre

     

  • Le Télégramme - vendredi 29 novembre 2013
  • http://u.jimdo.com/www8/o/s8143a1337c7e22b0/img/i4616c14bc8abdc68/1386081311/std/image.jpg

  • Ouest France du 12 octobre 2013
  • http://u.jimdo.com/www8/o/s8143a1337c7e22b0/img/ie59b8fe87997e763/1381843553/std/image.jpg

  • JT de France 3 Bretagne du 21 janvier 2013
  • Portrait croisé de deux salariés des Ateliers du Coeur de St-Brieuc…

  • Le coup de pouce de l'hôtellerie à l'insertion - Saint-Brieuc
  • Ouest-France -Samedi 06 octobre 2012

    L'union départementale des métiers et des industries de l'hôtellerie et l'association les Ateliers du coeur ont signé, hier, une convention de partenariat.

    Ce secteur ouvre ses portes aux Ateliers du coeur pour faciliter l’entrée dans l’emploi de personnes en difficulté.

    L’Union départementale des métiers et des industries de l’hôtellerie et l’association les Ateliers du coeur ont signé, hier, une convention de partenariat. Son but : favoriser l’accès des personnes inscrites en chantier d’insertion dans le monde de l’emploi.

    « Notre rôle consiste à servir de relais pour l’association afin qu’elle puisse envoyer des personnes en stage chez certains des employeurs adhérents », explique Michel Hellio, président de l’organisme patronal. Les personnes suivies resteront sous contrat d’insertion. Elles effectuent un stage d’une à deux semaines.

    Ce partenariat est avant tout une manière de casser les représentations et les méconnaissances des deux parties. Les employeurs manifestent une certaine réticence face au monde de l’insertion et ceux qui participent aux Ateliers du coeur connaissent mal la réalité du monde du travail.

    « Il n’y a quasiment que des femmes à notre atelier découverte des métiers de la restauration. Et elles se dirigent systématiquement vers la restauration collective », constatent les représentants associatifs. Plus en phase avec leurs contraintes personnelles, elles n’osent pas s’engager dans la restauration dite plus traditionnelle. Mais l’association rassure : les personnes qui partent en stage ont déjà un projet professionnel bien identifié.

    « Nous continuons à les suivre », insiste Véronique Corbel, coordinatrice des ateliers. Les Ateliers du coeur prennent en charge actuellement 36 personnes, qui sont réparties dans quatre ateliers. Outre celui de la restauration, un est consacré à la découverte des métiers du bâtiment, un autre à l’aide à domicile et le dernier à l’équipement de la maison

  • Les Ateliers du coeur doivent se professionnaliser - Saint-Brieuc
  • Ouest-France – Lundi 01 octobre 2012

    Claudie Créach et Noël Benoit, encadrantes et Yael préparent des petites marinières.

    Le dossier du lundi. Ils ouvriront un self et une blanchisserie dans des locaux neufs construits par l’Agglo, aux Plaines-Villes. De quoi, sur quatre ateliers, bien occuper les 36 salariés en contrat d’insertion.

    Un tournant

    « L’insertion doit désormais s’inscrire dans l’économie du territoire. » Ces propos tenus par le président des Ateliers du coeur, Guy Belrepayre, expliquent le virage pris par l’association. Depuis presque vingt ans, les Ateliers du coeur aident des personnes à se réinsérer socialement et professionnellement. De multiples idées de création ont vu le jour dans les locaux, devenus vétustes, du boulevard de l’Atlantique. Ces derniers temps, les responsables réclamaient un site plus adapté. L’éclaircie est venue de Saint-Brieuc agglo. La collectivité a accepté de construire un bâtiment de 790 m 2 sur la nouvelle zone d’activité des Plaines-Villes. Ouverture prévue en 2015.

    Création d’un self

    Passer de 2000 m 2 à près de 800 m 2 a nécessité de trancher ! L’atelier menuiserie va disparaître et le pôle « équipement de la maison » sera transféré rue de Penthièvre, dans le quartier des Villages. Les secteurs cuisine et textile vont se professionnaliser à travers l’ouverture d’une unité de restauration collective (self) et d’un service de blanchisserie-repassage-retouches.

    « Ces deux lieux seront fréquentés par les employés des bureaux de la zone d’activités. C’est un sacré challenge, confie le président. Cela sera très valorisant pour les bénéficiaires des contrats en insertion qui devront satisfaire une clientèle. »

    Équilibre financier

    Subventionnés par les collectivités locales et l’association nationale des Restos, les Ateliers du coeur rêvent à une certaine autonomie financière. Or, la production vendue (biens et services) ne rapporte que 120 000 € par an, alors que le budget global est de plus d’un million d’euros. Les ateliers doivent donc revoir leur stratégie et leur mode d’accompagnement. « La couture, ça n’est pas trop porteur. Mais le secteur du service à la personne, si ! », indique Véronique Corbel, coordinatrice des ateliers.

    36 personnes en contrat aidé

    Actuellement, les quatre ateliers accueillent 36 salariés en contrat unique d’insertion. Des personnes en galère sociale et professionnelle qui sont en recherche d’emploi depuis de nombreux mois. « Aux ateliers, elles réapprennent le lien social, car il faut travailler en équipe », précise Claudie Créach, la nouvelle encadrante de l’atelier textile. Pour cette éducatrice, ce qui compte, c’est de « faire avec » les compétences des personnes en réinsertion. « Repasser, debout, toute la journée, c’est assez physique. Toutes les filles ne peuvent le faire. Il me semble important de continuer à bien accompagner nos salariés pour qu’ils se réinsèrent de façon durable. »

    Catherine LEMESLE.

  • Journal ARMOR TV du 20 juin 2012
  • Article OUEST-FRANCE du 5 octobre 2011
  • Article LE GRIFFON n°216 - Janvier/Février 2010
  • France 3 - Juin 2010
  • Solidarité
  • Quoi de plus actuel que la solidarité par le travail ?J’ai souvent été surprise de la solidarité qu’il existe entre ces femmes qui traversent des périodes difficiles. Elles partagent les mêmes difficultés. Les « anciennes » accueillent accompagnent et soutiennent les nouvelles arrivantes.

    La solidarité, c’est aussi partager ses compétences et aptitudes. Bien sûr je leur propose mes connaissances techniques en couture mais chacune de mes salariées trouve sa place en offrant ses propres compétences et cela participe à l’équilibre, au dynamisme et au bon fonctionnement de notre atelier. Chacune apporte ses idées, ses capacités et l’atelier serait sans intérêt sans ce partage.C’est une collaboration de chacune.

    Noëlle

    Nous sommes toujours très fières de montrer nos créations. Et les félicitations de nos clients sont la meilleure des récompenses.Nos adhérents choisissent d’acheter dans notre boutique non seulement parce qu’ils sont satisfaits de nos réalisations mais aussi pour participer à notre action sociale.

    La solidarité c’est aussi une consommation réfléchie et participative.

    Noëlle, encadrante technique de l’atelier couture aux Ateliers du Coeur